Ma critique : Ce roman-là, premier de l'auteur, nous raconte l'histoire d'amour entre O. et Loren, jusqu'à ce que celle-ci disparaisse.
Je l'ai commandé dans la foulée après avoir fini Einstein, le sexe et moi, car j'avais adoré celui-ci, et car il était comparé à Boris Vian et évoquait Orphée et Eurydice. Une promesse poétique.
Malheureusement, ça n'a pas pris sur moi. Je n'arrivais pas à accrocher à l'histoire, au personnage de Loren. J'ai assez vite vu que je prenais ma lecture à reculons, alors que c'est une écriture très accessible et un roman assez court. Je n'ai, hélas, pas trouvé la poésie que j'attendais dans ce roman. Je n'ai pas vraiment d'explication de pourquoi ça n'a pas pris, à part la non-réponse à mes attentes.
Pourtant, quelques passages poétiques tout de même, vous le constaterez dans le choix des phrases que j'ai relevées :)
Mots clefs : Histoire d'amour - Séparation - Cirque
Citations :"L'étreinte ressemble à l'éternité. Tu as remarqué, disais-je aussi, le mot étreinte est l'anagramme du mot éternité, il suffit de permuter quelques lettres"
"Il m'a dit : Décrivez cette femme. J'ai dit : On ne peut pas décrire une femme qu'on aime"
"Est-ce que le mot étranger pourrait être un verbe, à l'instar d'étrangler ? Je m'étrange, tu m'étranges. Elle étrange. L'amour étrange. Si c'est le cas, je crois que la séparation m'avait étrangé"
Ma note : 12/20
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