Attention, rattrapage de critique en retard : livre lu il y a quelques mois, aimé, mais pas encore critiqué !
Présentation de l'éditeur :
Carpe Diem. Sur la couverture du carnet qui abrite ses pensées, les mots en lettres brillantes narguent Alexia. À 14 ans, le temps où elle pouvait « cueillir le jour » lui semble très loin. Depuis l’accident de voiture qui lui a arraché sa mère, son beau-père et ses deux demi-frères, elle vit au fin fond de la Dordogne chez son père, Greg, qu’elle connaît à peine.
Quand ses copains d’école se rêvaient pompier ou footballeur, Greg n’avait déjà qu’une idée en tête : construire des cabanes dans les arbres. Un rêve d’éternel enfant qu’il est resté – alors comment pourrait-il en élever un, d’enfant, surtout cette adolescente carapacée dans son deuil et son malheur ?
Peut-être avec l’aide d’Ida, une retraitée au verbe haut, et de Solène, cette jeune femme solaire et bienveillante qui a la manie étrange de répertorier les boîtes à livres de France…
Chrono-critique :
Personnages : Roman à quatre voix, ce que j'adore. Par contre, je n'ai pas du tout cru au personnage du père. Pour moi il n'est pas du tout réaliste. Les autres sont OK.
Style d'écriture : Facile, trop facile. Parlé.
Intrigue : Facile mais c'est ce qu'on en attend car c'est un livre feel good
Ambiance : Quotidienne, pleine de bons sentiments.
=> C'est un livre pour lequel je me sens un peu (beaucoup) à contre-courant des autres avis. Je ne sais pas si je ne suis pas le public visé ou si j'attends quand-même quelque chose de littéraire et travaillé même en feel good.
Je n'ai pas passé un mauvais moment, ça se lit tout seul. Mais je n'ai pas trouvé ça très crédible, j'ai trouvé ça parfois trop larmoyant, et j'en suis ressortie déçue.
De plus, les boîtes à livres, qui font le titre et qui sont ce qui m'a attirée vers ce livre, sont complètement anecdotiques dans l'histoire.
Citations : "Et maintenant, je ne sais plus trop ce que ca veut dire, profiter de la vie. Ou plutôt si, je le sais trop bien. C'est ce qu'on fait sans s'en apercevoir avant que tout s'écroule.""Est-ce parce qu'on couve ses malheurs sous la cendre qu'ils s'évaporent ? Parce qu'on en est à l'origine qu'ils sont moins légitimes ?""J'aimerais le retenir, mais à quoi bon ? Tous les gens que j'aime finissent par m'abandonner"
Mots clefs : Feel good - Résilience - Famille
Ma note : 12/20
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