Numeriklivres - 18 € - 376 p. |
Présentation de l'éditeur : "Paris. Une petite fille découvre un utérus parfaitement sectionné dans un des congélateurs du rayon des surgelés d’un supermarché. Annabelle Vitalis, responsable de l’institut médico-légal du quai de la Rapée [...] est complètement décontenancée par cette sordide découverte et décide de faire appel au commissaire Francis Delacosta. Cet ancien boxeur, drogué, alcoolique notoire et père indigne, toujours en guerre contre sa hiérarchie, est connu pour résoudre les affaires les plus tordues avec des méthodes pas toujours très orthodoxes. Avec son collègue Pierre Villard, ils arpentent les rues d’un Paris aussi noir que l’humeur du commissaire : ils doivent impérativement retrouver le corps correspondant à l’utérus sectionné pour qu’une enquête soit officiellement ouverte..."
Ces jours-ci, j'ai lu un polar qui m'a très très positivement surprise.
Un polar édité chez un petit éditeur. Or, libraire, je suis assez méfiante des petits. Parfois (souvent), à tort. Mais, libraires, nous sommes démarchés tous les jours par des auteurs et éditeurs ayant écrit LE meilleur roman du 21ème siècle que c'en est lassant. Qu'on n'a pas le temps de laisser sa chance à tout le monde. Oui, c'est discutable. Mais le temps n'est, hélas, pas étirable.
Bref, pour en revenir aux faits.
Ce polar, je l'ai aimé pour différentes raisons. Dès les premières lignes, il m'a embarquée. Un uterus retrouvé au rayon surgelés, forcément, ça questionne, ça intrigue et ça nous happe directement dans le vif du sujet, donc, dans l'histoire.
Ces jours-ci, j'ai lu un polar qui m'a très très positivement surprise.
Un polar édité chez un petit éditeur. Or, libraire, je suis assez méfiante des petits. Parfois (souvent), à tort. Mais, libraires, nous sommes démarchés tous les jours par des auteurs et éditeurs ayant écrit LE meilleur roman du 21ème siècle que c'en est lassant. Qu'on n'a pas le temps de laisser sa chance à tout le monde. Oui, c'est discutable. Mais le temps n'est, hélas, pas étirable.
Bref, pour en revenir aux faits.
Ce polar, je l'ai aimé pour différentes raisons. Dès les premières lignes, il m'a embarquée. Un uterus retrouvé au rayon surgelés, forcément, ça questionne, ça intrigue et ça nous happe directement dans le vif du sujet, donc, dans l'histoire.
Très vite, on fait connaissance avec les deux protagonistes principaux, deux flics, le gentil Villard très geek et le commissaire Delacosta, un type antipathique, brut de décoffrage, aux méthodes peu orthodoxes.
Bien sûr, d'autres personnages s'ajoutent : des collègues, des proches. Tous intéressants. Rien n'est laissé au hasard.
Quant à l'histoire, l'intrigue, une ficelle que l'on croit tirer en appelle une autre, sur un autre plan, différente, et pourtant liée.
En bref, je me suis laissée surprendre. J'ai cru avoir compris rapidement, presque déçue, mais prenant plaisir à poursuivre ma lecture, pour au final m'apercevoir que je n'y étais pas.
Après, je ne suis pas une grande lectrice de polar. Mais quand-même. Et justement. Malgré mes craintes et réticences, je me suis laissée prendre au jeu jusqu'au bout.
Alors petit éditeur ou non, lecteurs de polars ou non, osez, laissez vous tenter.
*repose le gâteau qu'elle était en train de manger* :')
RépondreSupprimerVraiment ça a l'air intéressant mais je ne suis pas dans ma période thriller en ce moment alors je le note dans un coin de ma tête :)