Ma critique :
La Petite dernière, c’est elle, Fatima Daas, musulmane
pratiquante, lesbienne. Dernière d’une fratrie de trois filles.
Tout au long du roman, en anaphore, Fatima Daas nous rappelle qui elle est. Comme pour s’affirmer auprès de nous. Ou plutôt auprès d’elle-même, comme une recherche d’acceptation de soi.
Elle nous livre un roman percutant. Des phrases courtes qui se suffisent à elles-mêmes, qui nous racontent qui elle est, cette Fatima, aux deux facettes. Mi dans la tradition familiale, mi elle-même, lesbienne.
Un roman nécessaire.
Mots Clefs : Famille - LGBT - Double culture - Islam
Ma note : 15/20
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