Expo Harry Potter - Cité du cinéma

Samedi 27 juin, à 15h30, j'ai pu assister à l'exposition Harry Potter, la fameuse.

Je pense que beaucoup des visiteurs de ce blog susceptibles d'être intéressés connaissent déjà les grandes lignes de cette exposition.

Alors je vais tâcher d'être brève :)

On entre, par groupe (très grand groupe), dans un lieu qui se veut emprunt de magie et qui retranscrit ce que l'on attend de l'univers Harry Potter. Le lieu est plongé dans l'obscurité, on a comme fond sonore la merveilleuse bande originale des films.

On est accueillie par une sorcière qui fait tester le choixpeau magique à deux personnes.

Puis on pénètre dans l'exposition en elle-même : éléments de décors, costumes des personnages principaux, objets importants, l'essentiel y est.

Je suis heureuse d'avoir pu participer  à cette exposition, comme pour beaucoup, j'ai grandi avec Harry Potter et cette saga fera toujours partie de moi, et aura toujours une grande place dans mon cœur.

Cependant, si vous voulez y aller, il faut savoir que l'expo en elle-même coûte 22 euros, auxquels il faudra ajouter le coût de transport et le prix des goodies si on veut des souvenirs de la boutique ô combien tentante et hors de prix.

J'ai acheté des dragées surprises de Bertie Crochue. Pas de doute, on retrouve les "saveurs" de la saga, à nos risques & périls ;)

Si vous êtes vraiment vraiment fan, c'est à voir. Si vous aimez l'univers mais sans plus, vous pouvez aisément vous en passer.

Antoine LAURAIN - La femme au carnet rouge

J'ai lu - 6€90 - 224 p. - Mai 2015 (ed. poche)

Ma critique :
J'avais envie d'un roman léger, non prise de tête pour me remettre d'une panne de lecture de quelques jours (ma première, dramatique)

J'ai fait le tour et encore le tour de mon rayon poche. Et puis je me suis arrêté sur ce livre.

C'est l'histoire d'une femme, qui se fait agresser et voler son sac à main.

C'est l'histoire du libraire qui trouve le sac, le ramène à la police, qui n'en veut pas.

Le libraire ouvre le sac,  fait l'inventaire du contenu à la recherche d'indices permettant d'identifier la jeune femme. Il y trouve, entre autres, du parfum, un carnet, ses clefs et un livre dédicacé.

De là, le jeu de piste commence. Pendant ce temps, la jeune femme est à l'hôpital et ignore ce qui se trame.

Et un chassé croisé se joue entre les deux personnages.

Bonne pioche, j'ai lu en quelques jours ce petit roman distrayant, sans prétention. Histoire conventionnelle au final, mais contexte qui m'a parlé (milieu du livre oblige) et personnages attachants. 

Ma note : 16/20

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Scott McCloud - Le Sculpteur

Rue de Sèvre - 25 € - 486 p. - Mars 2015

Ma critique :

Un sculpteur un peu paumé, qui n'arrive pas à être reconnu par ses œuvres, va conclure un étrange marché avec un vieil oncle : pendant 200 jours, il pourra créer ce qu'il veut de ses mains en un très très court laps de temps. A l'échéance des 200 jours, il mourra.

Il accepte le marché.

Puis il rencontre Meg, un caractère fougueux et passionné, elle lui redonnera goût à beaucoup.

Mais l'échéance demeure.

Le sculpteur, c'est de belles planches, des personnages qui portent leur caractère dans leurs traits, des émotions, des sentiments et une réflexion sur l'art et le monde de l'art.

Le dessin est très beau, du trait à la couleur, tout en bleu, noir et blanc. Les sculptures sont belles et recherchées.

Si le thème a un air de déjà-vu, l'histoire et l'objet restent sublimes.

486 p. d'émotions & de réflexions.

Extraits :

Ma note : 18/20

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Magazine : Flow

Flow n°3 - 6€95 - (goodies cartes postales)

Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un magazine. Il s'agit du n°3 du magazine Flow

Car il m'a fallu 3 minutes pour avoir envie de l'acheter, un feuilletage pour avoir le coup de cœur et, malheureusement, moins d'une semaine pour le lire/dévorer. (Pas parce que le contenu est pauvre, je n'ai juste plus pu m'arrêter de le lire^^)

Alors, Flow, c'est quoi ?

C'est un magazine aux couleurs pastelles, acidulées, avec de la bonne humeur dedans.

C'est un magazine qui fait du bien. Vraiment. Un magazine pour se détendre, pour repenser son quotidien, pour réfléchir sans en avoir l'air, pour découvrir de nouvelles idées.

C'est un magazine avec des goodies qui m'ont attiré : de jolies cartes postales, un poster sur fond jaune d'une artiste qui travaille en papier découpé, des pages A4 à découper et accrocher un peu rétro.

Et concrètement le contenu ? (avec extrait du sommaire)

Belles rencontres : la pleine conscience dans le couple, le temps suspendu en Indonésie, vivre avec moins se débarrasser du superflu

Esprit libre : Heureux sans rien de neuf, chouette une carte postale, les livres de ma vie

Petits plaisirs : Jeanne Lanvin, un hérisson sur instagram, sept recettes saines et gourmandes

Douceur de vivre : l'appli instagram, comment méditer, moins c'est plus (tenir sa maison en ordre)

Et pour ne pas nous déplaire, des citations positives sont parsemées tout le long du magazine.

Un magazine qui inspire douceur et bien-être. Je suis conquise. 

Paula HAWKINS - La fille du train

Sonatine - 21 € - 378 p. - Mai 2015

Ma critique : 

Tous les jours, Rachel prend le même train, le matin et le soir. Presque à chaque fois, ce train s'arrête à un feu. En face de ce feu, la maison d'un jeune couple qui pour elle semble parfait. Elle leur invente un peu une vie faite de tendresse et de bonheur. Ils lui rappellent le couple qu'elle-même formait avec Tom dans une maison de la même rue. Mais un jour, la femme disparaît. 

Là, Rachel s'interroge sur ce qu'il a pu se passer. Surtout qu'elle a une hypothèse. Mais sa parole est peu crédible, elle s'est réfugiée dans l'alcool et a, depuis, quelques trous de mémoire.

On suit cette histoire, enquête menée de son côté par Rachel, à travers le point de vue de trois femmes. Ce que vit Rachel et comment elle perçoit les choses, ce qu'a vécu la femme qui a disparu, et enfin, le point de vue d'Anna, la nouvelle compagne de Tom.

C'est une enquête qui m'a plu pour deux raisons principales :
- On ne suit pas un inspecteur, mais une femme lambda. 

- Ce n'est pas tant une enquête qu'un reconstitution de faits à travers le vécu et la psychologie des personnages.

Si j'ai pu faire des hypothèse sur le pourquoi du comment et sur le responsable, j'ai eu des doutes jusqu'au bout.

J'ai aimé la trame de l'histoire : tout voir du train et deux fois par jour. J'ai aussi apprécié avoir trois points de vue différent et non un seul.

Deux petits bémol : on tourne souvent autour du fait que Rachel ne se souvienne pas avec un peu trop d'insistance plutôt que de développer un autre point du récit. On peut aussi comprendre assez vite ce qu'il s'est passé, même si le suspense est demeuré très longtemps pour moi.

Ma note : 17/20

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Annelise HEURTIER - Le Carnet rouge

Casterman - 12€ - 190 p. - 2011

Ma critique :

Marie a 16 ans. Elle sait que ses grands-parents viennent du Népal. Mais elle ne les a pas connu : ils sont morts avant sa naissance. Et sa mère refuse d'en parler. Elle nie même tout ce qui a un rapport avec le Népal.

Marie est pleine de questions qui restent sans réponse. Le silence de sa mère lui père et crée une relation presque conflictuelle entourée de secrets.

Jusqu'au jour où un vieil homme semble la suivre. Qui est-il ? A-t-il un lien avec sa famille ?

C'est le début des réponses aux questions, une porte ouverte vers le dialogue avec sa mère.

Une fois de plus, Annelise Heurtier nous entraîne au bout du monde, le Népal, un pays qu'elle décrit dans ses traditions à l'aide d'une héroïne touchante et proche de nous puisqu'en France, et de la jeunesse de sa grand-mère, au Népal.

Une histoire bien amenée qui nous entraîne à la découverte d'un pan du Népal.

Ma note : 17/20

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